S'entraine toute seule

Nombre de messages : 63 Age : 32 Date d'inscription : 11/02/2007

Melinda avait passée une bonne partie de la journée à ne rien faire. Elle décida donc d'aller s'entrainer un peu au basketball lui restant plusieurs heures de libre avant d'aller manger à son heure habituelle. Elle était assez douée pour ce sport l'ayant pratiqué pendant trois ans. Elle l'avait abandonné car finalement elle n'aimait pas trop ça. Pour s'entrainer, la jeune Hart alla donc au basketball Square à pied, vêtue d'un jogging noir et d'un débardeur rouge dans lesquel elel se sentait à l'aise. C'était très important pour elle d'être dans des affaires confortable. Elle s'était attachée les cheveux sous forme d'un chignon en bataille pour éviter de les avoirs dans les yeux et de faire trop filel sage. Elle avait emmené un sac qu'elle posa à côté d'elle avec des affaires de rechange et une bouteilel d'eau ainsi que quelques barres énergétques. La jeune femme prit le ballon qu'il y avait dans son sac et commença s'échauffer pour ne pas avoir avoir trop mal après son entrainement en solitaire.

Alex savait que lorsque Mel partait seule avec son sac de sport c'était pour aller faire un peu de basket...tout deux d'ailleurs à New York sortaient ensemble le soir pour prendre posséssion d'un terrain et jouer jusqu'a pas d'heure...
Bref, depuis plus de 5 ans tout deux étaient devenus les meilleurs amis du monde, de vrai inséparable et quand ça allait pas,; elle était la seule à etre capable de lui apporter le réconfort dont il avait besoin. Il s'approcha doucement, les mains enfouies dans les poches avant de son jean Diesel...

Hey...

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La jeune fille avait commencée à s'entrainer après avoir assez un bon quart d'heure à s'échauffer. C'était beaucoup pour certains mais elle préférait assurer ses arrières ne voulant pas se faire mal. Elle préférait être prudente. La jeune fille était très concentrée sur son entrainement. Lorsqu'elle entendit une voix familière derrière elle juste au moment où elle lançait le ballon, elle fit un petit sursaut tout en continuant de regarder la balle entrer dans le panier. Elle se retourna alors et apperçut Alex. Elle lui sauta au coup. Certes ils s'étaient parlés pendant plusieurs heureus lorsqu'elle était à Paris mais il lui avait quand même énorméménet manqué. Elle le lacha alors puis se mit face à lui laissant le ballon partir à "l'avanture" sur le terrain.

Coucou toi, tu vas bien?

La jeune fille continuait de le regarder toujours en souriant. Elle était vraiment contente de le revoir. Et oui, pour elle s'était quand même son meilleur ami et donc quelqu'un de très important à ses yeux. Elle pourrait donner sa vie pour lui tellement elle l'aimait (comme ami).

La jeune le reconnaissant se jeta dans ses bras et comme cela était une sorte de tradition entre eux, il la serra fort contre lui, ils c'étaient quitté quelques semaines, le temps qu'elle fasse un petit détour par la France avant de revenir elle aussi à Myrtle Beach et bien qu'ils passaient des heures et des heures ensemble au téléphone, c'était tout autre chose quand ils se voyaient, comme si, finalement, ils avaient besoin d'un contact entre eux. Il caressa doucement la longue chevelure brune de la jeune femme, humant son délicat parfum, elle lui avait énormément manqué et sans elle, il se sentait moins fort et moins courageux à affronter les anciens de Saint James, bref à affronter Dana. Il déposa une douce bise sur son front.

Te voila enfin...je désespérais vraiment de te voir arriver, à croire que tes parents voulaient te sequestrer en France...

Il sourit à cette pensée, imaginant sans doute la scène...bien que cela n'avait finalement rien de drole puisque sans elle il serait sans doute pir que perdu...elle était la seule avec qui après 5 ans il avait gardé contact, la seule à sans doute le comprendre...

En plus tu tombe à pique...je crois que tu avais raison, on aurait peut-être pas du revenir à Myrtle Beach...j'ai vu Dana...deux fois...et je sais pas si je supporterais de la revoir encore...à chaque fois elle s'est montrée odieuse, bref elle est toujours aussi douée pour jouer à la victime...tu te rend compte qu'elle a presque faillit me faire douter de mon père...

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La jeune femme sourit en le sentant la serrer contre elle. Elle trouvait cetet tradition entre eux tellement magique. Depuis toute petite, elle avait rêvée avoir un ami avec qui faire ça. Elle était donc très heureuse que se soit avec quelqu'un comme Alexander même si elle avait dut attendre pendant longtemps, ça la consolait au fond. Les heures au téléphone n'avaient pas put combler le vide qu'il y avait entre les jeunes gens. Dès qu'elle avait un moment de libre, elle l'appellait pour prendre de ses nouvelles, savoir si ça allait bien ou pas. surtotu que maintenant, ils n'étaient plus à New York mais bel et bien de retour à Myrtle et elle savait que de revoir Dana, la fille qu'il avait tant aimé et qu'il aimait surment toujours ne serait pas facil. Elle avait donc préféré l'appeller (je me répète je sais lol) très souvent pour éviter qu'il tombe dans la déprim, on sait jamais^^.
Lorsqu'elle l'entendut dire qu'il avait imaginé que ses parents la séquestrer après lui avoir fait un bisosu sur le frond, elle rigola. Même si elle aimait la France, elle ne pourrait jamais se passer de lui. Elle se rappella qu'une seule semaine avec lui lorsqu'elle avait treize ans lui avait donné envie de partir pour se retrouver tous les jours avec lui alors ses parents ne pourraient pas détruire ce lien qui les unissait même si ils le voulaient et elle aussi.

Mais parents ne ferraient jamais ça et même si c'était le cas, je les en empecherais, je t'adore trop pour ça. J'aime la France c'est sur mais je t'aime encore plus.

Elle savait que le jeune homme serait perdue sans elle comme elle elle le serait aussi. Elle s'entendait tellement avec lui et ils avaient partagés tellement de choses pendant cinq ans qu'elle se voyait mal vivre sans lui bien qu'il n'y ai que de l'amitité entre eux deux.

Elle l'écouta alors parler de Dana et dut fait qu'elle avait raison. Généralement, elle aimait avoir raison mais pas dans ce cas là, ça lui fesait mal de voir Alexander mal.

Je suis désolé d'avoir raison.
Ne t'en fais pas, je susi là et Dana ne devrait pas pouvoir te faire douter de ton père. Il t'aime vraiment. Et puis si elle a été odieuse, tu n'y peux rien. Elle n'a pas à l'air et se faire passer pour une victime, elel est assez douée pour ça mais toutes les filles le sont.

S'installant sur un petit murret contournant le terrain de basket, le jeune homme soupira tout en regardant la jeune femme. Il n'avait qu'une seule et unique envie, prendre un avion direction New York...enfin ça il aurait été capable sans doute de le faire sauf qu'il y avait désormais beaucoup de choses qui avaient changé dans sa vie...comme le fait qu'il c'était attaché à quelqu'un...

En fait...je sais plus trop qui je dois croire, tu sais également que parfois mon père meux se montrer manipulateur...après tout, il m'a bien manipulé pour que je parte à New York, qui me dis qu'il la pas fais avec elle pour qu'elle reste ici...

Il se passa une main sur la nuque...là il commençait sérieusement à s'embrouiller les neurones...bref tout devenait flou dans son esprits, pourquou sa vie était-elle finalement aussi compliquée avec les filles et tellement simple avec Melinda ?

Tu sais j'ai rencontré quelqu'un d'autre...elle me rappelle un peu Dana...mentalement...mais j'ignore si je suis pret à me lancer dans un nouveau truc...je sais que maintenant ça fais cinq ans...mais j'ai toujours du mal à me dire que c'est en quelque sorte vraiment fini, qu'elle est vraiment mariée...et puis tu sais ton petit plan,j'ignore s'il marche, je suis même pas sure qu'elle sache qu'on est "ensemble"...

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Melinda le regarda allez s'asseoir sur le murret qui contournait le terrain. Elle s'assit sur un banc en face de lui. Elle le regarda en essayant de savoir ce qu'il pensait. Elle voyait bien que ça n'allait pas mais n'arrivait pas à savoir pourquoi et ça ça la dérangeait. Elle l'écouta alors parler sur le fait que peut etre son père lui avait mentit et que Dana avait raison. C'est vrai que son père n'était pas toujours un saint, et elle le savait bien mais de là à la manipuler pour aller à New York ce que franchement elle n'avait pas trouver, si il ne voulait pas y aller, il n'y était pas non plus obligé voir forcé mais bon elle ne dit rien à ce sujet. Elle ne savait pas quoi répondre à ce débit de parole. Elle réfléchit un instant à ce qu'elle pourrait dire mais elle ne trouvait rien de vraiment croncret à dire, peut etre Dana ne mentait elle pas bien que la jeuen fille en doute.

En quoi t'as t'il manipulé pour aller à New York? si tu ne voulais pas y aller, tu n'était pas obligés, il ne t'y a jamais forcé. Et après, seule Dana peut savoir ce qui s'est réellement passé et pourquoi elle n'a pas voulut ou put venir. Bien que je ne pense pas qu'il y ai une raison suffisante pour ne pas partir avec l'homme que l'on aime.

Elle le regarda alros se frotter la nuque. Elle savait que c'était un signe d'anxiété et d'embrouillement chez lui, elle finissait par bien le connaitre.
Puis elle l'écouta de nouveau parler sur cette fille dotn elle ne connaissait pas le nom. Si elle lui rappellait son ex petite amie, ce n'était peut etre pas une bonne chose pour lui, il avait tant souffert. Elle se demanda qui Alexander désignait avec ce Elle. Désignait elle Dana ou cette autre fille? Elle ne le savait pas du tout. Et puis d'un côté, comment les gens pourraient savori qu'ils sortent ensemblent enfin soit dis en sortent ensemble alors qu'elle vient juste de revenir de Paris sans avoir fait un petit détour par Myrtle Beach avant et si il ne le dit pas?

Alors voyons, je ne sais pas si c'est une bonne chose que cette fille ressemble mentalement à Dana, Dana t'a fait souffrir et franchement je n'ai pas envie que tu souffre de nouveau comme tu à souffer, c'était dur pour toi et franchement j'ai mis du temps avant de te remettre d'aplomb alors évitons les filles du genre de Dana si tu veux bien. Enfin je ne connais peut etre pas cette fille et si il faut elel est très sympathique mais fais attetion s'il te plait.
Et je sais que c'est dur d'imaginer que totu est bien finit entre vous deux bien que ça fasse cinq ans, ta blessure c'est surment réouverte lorsque tu as remit les pieds ici mais elle est vraiment mariée.
Et pour me petit plan, comment veux tu que les gens sachent ou pas si nous sommes ensemble vut que je viens juste de revenir et que tu ne l'a srment pas dis?

Alex avait gardé un coté de l'histoire pôur lui...peut-être parce qu'il avait peur d'admettre que son père était vraiment pas quelqu'un de bien parfois ou peut-être parce qu'il voulait se convaincre de certaines choses, bref quoi qu'il en soit, il y avait toujours des trucs en lui dont il avait du mal de parler, même à Melinda...Il fit une petie moue, c'était peut-être temps qu'il sache la raison de son départ à New York, enfin la vrai raison quoi...

Tu sais Mel...si mon père à voulu que je parte à New York, c'était plus une obligation que autre chose...si je partais faire une fac de sport, il m'a tout simplement dit qu'il séparerait Dana de sa soeur...alors pour elles, j'ai décidé d'abandonner ça, d'abandonner mes rêves...tu sais j'ai voulut te le dire pleins de fois, mais je crois que j'avais honte...tout simplement honte d'admettre que mon père était vraiment un salop quand il s'y met...mais bon je peux pas vraiment l'en blamer, il voulait ce qu'il y a de mieux pour moi, il pensait simplement que Dana n'était pas faite pour moi, tout comme le basket...

Il soupira, s'être libéré de ça c'était comme enlever un lourd fardeau de ses épaules, de plus il était plus que difficile de mentir à la jeune femme sans pour autant éprouver quelques remors, elle était tellement franche avec lui, pourquoi lui n'arrivait-il donc pas à parler franchement ?

Bon par contre en ce qui concernait Livvy, la fameuse jeuen femme que Alex fréquentait depuis peu, Mel n'était pas du tout du même avis que lui...et bien sur, toujours aussi convaincante, le jeuen homme ne pouvait qu'admettre une chose, elle avait raison et comme un crétin il sentait bien qu'il allait de nouveau souffrir...Il attrapa la main de la jeune femme.

Je ne sais pas...je me sens bien avec elle, mais peut-être que tu as raison...

Finalement il se mit à sourire et à rire tout seul, rire de sa vie si compliquée, la jeune femme elle était si simple...

Tu vois, parfois je me dis que ce qu'il me faudrais vraiment, ça serait une fille comme toi...toi au moins tu m'as suivit à New York, toi au moins tu es toujours là pour moi...

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Melinda l'écouta alors parler de ce que son père lui avait demandé de faire enfin demandé était plutot faible comme mot, obliger serait plus juste.
Le jeune homme avait mit bientôt cinq ans avant de lui avouer ce qui c'était passé et pourquoi il avait fait passé New York avant tout, ce que la jeune fille n'avait pas trop comprit d'ailleurs. Et oui, elle savait qu'il aimait énormément le basket et qu'il ne quitterai jamais ce sport pour n'importe quoi hors, il l'avait fait. Maintenant, elle pouvait comprendre pourquoi. En faite, c'était plutot un choc, elle savait que le père de Alexander pouvait etre méchant et manipulateur mais pas à ce point là quand même. C'était vraiment un salop quoique le mot soit faible. Il avait beau vouloir le bonheur de son fils, ça ne lui donnait pas tous les droits quand même, surtout que tout le monde à le droit de faire des erreurs même le petit Davis Junior qui d'ailleurs n'est plus si petit que ça, tout d'abord par la taille et oui, il l'a dépassait largement mais aussi par l'age, après tout, maintenant il avait vingt deux ans.
Elle lui dit alors.

Tu sais, tu n'as pas à avoir honte, ton père est une vraie pourriture, malgré le fait que se soit pour ton bien, il n'avait pas le droit de faire ça. Tout le monde a le droit de faire des erreurs même si c'est le garçon le plus craquant de la ville pour la plupars des filles et le fils du maire le plus réputé.
Et puis tu sais, tu n'as pas à avoir honte devant moi, je sais que tout n'est pas rose même la vie de mon meilleur ami que j'adore.

Melinda l'écouta de nouveau parler, il bégéyait (dsl je sais plus comment ça s'écrit) après lui avoir pris la main. Elle trouvait ça tellemnt mignon. Elle l'écouta alors lui dire qu'il se sentait bien avec cette fille et qu'elle avait surment raison. Raison sur quoi? Qu'il avait tellement souffert? pour ça, c'était sure qu'elle avait raison mais bon, si il se sentait bien avec elle et si il avait envit de vivre une histoire avec cette jeune femme, qu'il le fasse, jamais elle ne pourrait lui interdire de toute façon, elle voulait juste qu'il fasse attention.

Tu sais, si tu te sens bien avec elle, vit à fond cette histoire. Je ne peux pas t'obliger à ne pas sortir avec cette fille et jamais je ne ferrai ça, sois en sur, je veux juste que tu fasse attention à toi.
Si tu veux vraiment vivre une histoire avec elle, on pourra dire aux personnes qui croivent que l'on sort ensemble que c'est fini et que l'on est toujours amis. On leur dira que ... je ne sais pas trop.. que l'on a préféré rester amis.

La jeune fille le vit alors rire. Elle ne voyait pas ce qui était drôle dans ce qu'elle venait de dire. Peut etre que ce qui était drôle n'était autre que le fait qu'elle ai dit que des gens croyaient qu'ils étaient ensemble. En tout cas, Mylie le croyait elle.
Puis elle l'écouta de nouveau parler et dire que c'était peut etre une fille comme elle qui lui faudrait. Elle était touchée mais elle ne pensait pas que se soit elle qui lui fallait bien que des fois, elle s'épprenait à penser qu'ils sortaient ensemble et qu'ils étaient heureuse mais bon, pour elle, en cet instant, ce n'était rien de plus qu'un ami très proche.

Je suis très flattée de ce que tu viens de dire, mais je ne crois pas que tu me supporterai en tant que petite amie, tu as déjà parfois du mal à me supporter .

Elle le taquinait mais au fond, elle verrait bien ce qu'il dirait. Elle sourit puis repris.

Je ne sais pas trop quel type de fille il te faut mais je ne pense pas que ce soit moi *Bien que des fois, j'aimerai être plus que l'amie du plus beau garçon de la ville*. Et si je suis toujours là pour toi c'est parce que je... *Parceque quoi d'ailleurs*

En réaltié, Melinda ne savait pas vraiment pourquoi elel l'avait suivit mais en tout cas, elle avait bien fait de le faire.

C'est parceque tu étais mon ami que je t'ai suivi et maintenant mon meilleur ami.

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