Charlotte Reynolds

Nom : REYNOLDS
Prénom : Charlotte
Age : 16 ans 1/2, Charlotte est née un certain 25 juin 1990
Surnom : Chachou, Chacha (elle déteste ce dernier)
Signes particuliers : Lors de sa première cuite, Charlotte s'est fait tatouée un petit soleil sur la cheville droite. De plus, elle met régulièrement des lentilles de contact, non pas qu'elle ai un problème d'yeux mais simplement pour changer de couleurs. Elle adore interchanger comme cela, même si les risques de déssechèment sont plutôt gros... Lorsqu'elle est nerveuse, elle tord son doigt dans une de ses mèches. Elle ne peut s'empêcher de toucher ses cheveux, c'est une de ses manies. Et pour finir, la jeune lycéenne est allergique aux poils de chats bien qu'elle en possède un, Noisette, et qu'elle adore.
Job : Charlotte n'a pas de travail, elle est au lycée St James.

Histoire :Reynolds… ce nom vous dit-il sans doute quelque chose ? Mais bien sûr, réfléchissons un peu ! Reynolds, une célèbre marque de stylos à encre. Vous savez, ces Reynolds qui vous mettez en rogne car ils utilisaient une différente marque de cartouches et que lors d’un contrôle, vous avez malencontreusement oublier d’en prendre une de recharge… Et puis, attentin, il ne fallait pas parler, aucun droit de poser une question pour avoir un stylo… Reynolds, ça vous dit maintenant, le stylo qui vous a fait râter votre contrôle de mathématiques que vous saviez jusqu’au bout des doigts. Un C- pour avoir écrit au crayon de papier alors que vous méritiez largement un A+ !
Et bien, c’est à cause de ce monsieur : Mr Alexius William Reynolds, deuxième du nom. Lui, c’est l’arrière-arrière-arrière grand père de Charlotte Reynolds, vous savez la nouvelle qui débarque à Myrtle !
Enfin bon, de toute façon Mr Alexius William Reynolds, deuxième du nom, il est décédé depuis longtemps. Et son arrière-arrière petit fils (le père de Charlotte Reynolds donc…) s’appelle Henri Louis Reynolds, natif de Londres. Avec de tels prénoms, on peut penser qu’il était franco-anglais, et bien oui sa mère était française. Durant toute son enfance, Henri Louis Reynolds n’a cessé de voyager entre Londres et Paris. Quoi de mieux que ces deux merveilleuses capitales. L’une pour se ballader sur la Tamise et l’autre pour flâner sur la plus belle avenue du monde : les Champs Elysées.
Mais Henri Louis Reynolds voulait voir autre chose que ça. L’Amérique l’intéressait davantage. Il en avait tellement entendu qu’il voulait découvrir par lui-même. Voir ces « peaux rouges » comme on disait, les réserves dans lesquelles ils avaient été mis et découvrir l’or ! Mais ses parents n’étaient pas de cet avis-là. Ils voulaient que leur fils termine ses études pour devenir un brillant ingénieur. Mais Henri Louis Reynolds n’en avait que faire ! La seule chose qu’il voulait c’était les Etats-Unis.
Alors que tous les petits garçons ne désiraient qu’une chose : leur petit playmobile, Henri Louis Reynolds rêvait d’un autre monde. Il refaisait le monde à sa façon puis il grandit. Il obtenu son Bac en France dans une école prestigieuse et là ce fut le déclic ! Un poste était à pourboire à New York. L’occasion était rêvé, ses parents n’avaient plus leur mot à dire, il était majeur et avait obtenu le Bac ! Il ne se fit donc pas prié pour partir aux Etats-Unis et décrocha le rôle, motivé comme jamais !
Et c’est là que l’histoire commença… Un conte de fée on dirait… Certes oui, la suite n’en est pas moins mais comme on dit si souvent… tout a une fin… Serait-ce alors le début d’une histoire tragique ?..
Nouveau résident américain, Louis Henri Reynolds ne lésimait pas sur les moyens. Il travaillait sans relâche jusqu’au jour où il rencontra sa muse. Elisabeth Catheline Madeleine Poésy.
Poésy, oui comme la chaîne française d’hôtels très réputée.
C’était à une soirée charitative, un verre de champagne dans une main, un morceau de caviar dans l’autre qu’ils firent connaissance. Tout d’abord on présenta Elisabeth Catheline Madeleine Poésy comme une jeune femme ambitieuse et dévouée. Puis Henri Louis Reynolds comme un homme doué et courageux. Plus tard, ils apprendront l’un de l’autre dans un coin des toilettes de cette même soirée qu’ils étaient arrogant et vaniteux pour l’un et capricieuse et possessive pour l’autre.

La belle histoire débuta. Après cette rencontre, un tour aux toilettes et quelques mois suivant, le couple décida de s’installer ensemble dans un bel appartement situé dans le quartier chic de l’Upper East Side à New York. Quelques semaines après, on apprit qu’ils avaient décidé de se fiancer et que le mariage aurait lieu l’année prochaine. Mais quelle ne fut pas la surprise lorsque Elisabeth Catheline Madeleine Reynolds annonça un heureux événement : la naissance d’un ou une héritière. Le couple était aux anges, et comment ne pouvait-il pas l’être ? Un mariage, un bébé, que vouloir de plus ? Et bien…
Un mois suivant l’arrivée d’un bébé, le père de Henri Louis Parker fit une mauvaise chute ce qui entraîna son décès. La famille était en deuil et le futur père était très affecté. Il devenait de plus en plus insociale. Il était de mauvaise humeur toute la journée, il s’enfermait dans son cabinet sans cesse ou alors le soir, il se couchait directement sans même manger. Elisabeth Poésy s’inquiétait fortement mais lorsqu’elle lui demandait comment ça allait, il ne lui répondait même pas… Ni d’un regard il ne pouvait la rassurer…
Les jours, les semaines, les mois passèrent ainsi. Elizabeth était très triste, cela se répercutant sur sa santé et celle du bébé. Finalement, au bout de neuf mois, elle mit au monde une adorable petite fille prénommée Charlotte Juliette Anne-Lyse Reynolds. Cela remit le sourire aux lèvres à Henri Louis Reynolds mais pas à Elisabeth Poésy. Après son accouchement, elle était très faible et il lui fallait beaucoup de repos.
Les jeunes parents décidèrent ainsi de quitter New York pour s’installer sur la côte Ouest, à Los Angeles. La plage, le soleil, la tranquilité, tout cela semblait tellement idyllique pour cette jeune famille.
Mais le destin frappa… Elisabeth ne se rétablissait pas… Cette jeune femme qui avait auparavant tout le temps le sourire, qui aidait les autres, qui redonnait de l’espoir à chacun, était faible. Le médecin annonça que son corps ne pouvait pas lutter et que seul un miracle pouvait la sauver.
Alors Henri Louis Reynolds priait. Tous les soirs. Il se prenait pour le seul responsable de tout cela… S’il n’avait pas été capable de surmonter son chagrin, Elisabeth ne serait pas ainsi. Ils auraient été heureux l’un avec l’autre, et avec leur petite fille qui grandissait de jours en jours. Mais Charlotte éprouvait de terribles manques. Ceux de ne pas avoir une mère à ses côtés, ni d’un père trop occupé à rester au chevet de sa mère… La petite fillette était triste, on la confia à une nourrice, Maria, qui était adorable comme tout avec elle. Cela lui redonna le sourire puis enfin, un jour croyant que tous ses espoirs ne se réaliseraient jamais, Henri Louis Reynolds cessa de rester au chevet de sa femme et retrouva sa fille. Ils partagèrent d’excellents moments ensemble et le moment fatidique arriva. Elisabeth Catheline Madeleine Poésy-Reynolds n’était plus. Son dernier souffle survint un vendredi 28 avril, à 17h. Et Charlotte n’était âgée que de quatre ans. Autant dire qu’elle n’aura pas connu sa mère. Et pour Henri Louis ce fut une très grande peine, leur mariage n’avait même pas été célébré.

Charlotte ne se rendit pas vraiment compte que sa mère était décédée. En effet, Maria l’avait élevé et elle voyait son père de temps à autre mais ce dernier avait mis les choses au clair. Maria n’était pas sa mère et Charlotte ne voulait pas l’admettre. Elle voulait une maman comme toutes les autres petites filles de son école. Ce fut ainsi jusqu’au jour où Henri Louis rencontra une femme et bien avant que les choses deviennent sérieuses entre eux deux, Charlotte se mit en tête d’avoir une nouvelle maman en la présence de Marguerith Solène William. Elle l’appelait sans cesse Maman et ce n’était pas à en déplaire la femme. Quant à Henri Louis, il trouvait que les choses étaient précipitées mais il aimait Marguerith alors si elle plaisait à sa fille… il était prêt à tenter cette nouvelle expérience. Mais il eut d’abord une discussion avec sa fille, aimait-elle vraiment Marguerith ou était-ce simplement pour faire comme les autres petites filles, avoir une maman ? Charlotte n’était âgée que de sept ans lorsqu’il lui posa cette question. Elle répondit honnêtement qu’elle aimait Marguerith comme une maman « pour de vrai ».
Un an plus tard, ils se marièrent et fondèrent une heureuse famille. Tout allait pour le mieux.

Peu à peu Henri Louis trouvait un équilibre pour sa petite fille qu’il chérissait tant, c’était son petit cadeau du ciel et il retrouvait en elle la femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer.
Charlotte grandit et elle ressemblait de plus en plus à sa mère.
À neuf ans ans , l’adorable petite fille aux boucles châtains et au visage d’ange faisait craquer tout le monde. Charlotte était toujours souriante, elle était très sociale et avait beaucoup d’amis. Elle adorait rigoler, elle mangeait du chocolat et s’en mettait plein la bouche. Elle grandissait dans la bonne humeur, la joie et le goût des bonnes choses. Bien que ses parents ne soient pas dans le besoin, elle n’était pas une enfant gâtée. Elle avait ce qu’elle voulait mais elle ne devait pas faire de caprice. Elle était éduquée aux valeurs morales et que cela tienne, son père et sa belle-mère ne changeraient pas.
À dix ans, Elisabeth Angelica Reynolds arriva dans la famille. Elisabeth pour le prénom de la mère de Charlotte que Henri Louis n’oublierait jamais. Et Angelica, pour la mère de Marguerith décédée l’année précédente.
Au fil des années, les deux filles devinrent très proches malgré les dix ans qui les séparaient, elles étaient demi-sœurs mais se considéraient comme des sœurs. Et puis, de toutes façons ça ne changeait pas grand chose !
Charlotte s’occupait tout le temps de sa petite sœur, elle la couvrait de bisous et adorait jouer à la maman. Enfin une poupée grandeur nature !
À quinze ans, elle eut son premier baiser et elle ne put s’empêcher de le crier sur tous les toits ! Bien sûr son père et Marguerith furent au courant. Elle était entrée au collège et avait retrouvé tous ses amis.
Maintenant, Elisabeth Angelica à six ans et elle ressemble à sa mère. Elle est brune, aux yeux verts, le contraire de sa sœur ! Elles ont le même caractère, Charlotte est toujours très protectrice avec elle et elle adore lui acheter une glace pour la manger au bord de la mer, les pieds dans le sable chaud ou dans l’eau pour se détendre.
Charlotte a eut des petits amis, dont deux véritablement sérieux. Son « premier amour » fut Joshua Christensen lors de vacances aux Barbades il y a un an pendant trois semaines puis son second fut Manuel Piastre, un italien habitant LA. Ils vécurent une belle histoire d’amour pendant un an, ils se voyaient tout le temps –ils étaient dans le même lycée- c’est ce qui eut raison de leur amour. Au mois de juin, lorsque Charlotte apprit qu’elle partait pour Myrtle, ils prirent l’occasion de faire une petite pause pour éventuellement reprendre lorsque la jeune femme reviendrait à LA. Mais au fond, Manuel est toujours très amoureux d’elle et il en est de même pour Charlotte qui n’arrive pas à l’oublier. Chacun, de leur côté, pleure l’autre…
Désormais, Charlotte, avec la famille, vient de s’installer dans la station balnéaire de Myrle Beach qui se trouve sur la côte Est au bord de l’Océan Atlantique.
Âgée de bientôt 17 ans, Charlotte entre dans le lycée privé de St James et est bien décidée à ce que sa petite vie « sur son nuage » continue. Elle veut profiter de son adolescence et de ses années de lycée…

Woow dis moi c'est déjà super long sans l'histoire o__0
Bienvenue
=> Reynolds comme les stylos ?
[je sors --->]

<suite :>

Caractère : La description caractérielle de Charlotte comporte, disons, deux facettes. En effet, elle sait se montrer douce et gentille. Souriante, elle attire la sympathie des gens et sait se faire apprécier. Toujours prête à rendre un service, cette jeune lycéenne vous semblera quelqu'un que l'on peut qualifier d’adorable. Très curieuse, elle veut toujours tout savoir. Mais qui a dit que les apparences étaient trompeuses ? Sous cet aspect si angélique de Charlotte, se cache une vraie part de méchanceté. Toujours prêt à casser, la jeune femme utilisera tous les moyens pour vous déstabiliser et généralement, non à chaque fois c'est une certitude, ça marche. C’est une manipulatrice "comme jamais". C’est son petit jeu à elle et elle le fait à la perfection. C'est une belle garce, fière de ce petit surnom, mais aussi une grande hypocrite. Elle sait quand et comment mentir. Pensez-vous que mentir comme respirer est un défaut ? Non, c'est une qualité que Charlotte sait appliquer comme il le faut. Toujours à vous faire un compliment qui vous touchera plus que l'annonce brutale de la maladie de votre mère n'est pas hypocrite ? Tout le monde est hypocrite avec tout le monde, un jour ou un autre. Mais elle sait se détacher des autres. Elle n'a jamais fait comme les autres de toute manière. Et ce n'est pas aujourd'hui que cela changera.
Charlotte a plutôt un caractère bien trempé, certes, mais cela ne l’empêche pas de faire des blagues. Elle a un grand sens de l’humour et sait être sérieuse lorsqu’il le faut. Par exemple, lorsqu’elle travaille, Charlotte y met beaucoup du sien. Elle s’applique, elle est brillante et tout ce qu’elle entreprend marche, car elle est très ambitieuse. Elle aimerait faire beaucoup plus que ce qu’elle fait actuellement. Elle a le contact facile et semble n’avoir peur de rien, mais ses airs de battante masquent une grande vulnérabilité. À courir tête baissée en avant, elle fonce souvent droit à la catastrophe, mais rien ne sert de la brusquer ni de lui dicter sa conduite. Pour découvrir ce qu’elle est et ce qu’elle veut véritablement, il faut lui laisser le temps d’aller à son rythme et de faire à sa manière. Elle ne tient pas en place, elle a la bougeotte.
Charlotte est très têtue, elle sait ce qu'elle veut et n'en démord jamais pour l'obtenir. Elle aussi volontaire, active, énergique et dynamique. Elle donne le sourire et aime beaucoup vivre en société. Elle semble toujours joyeuse et même dans les pires situations, elle saura vous redonner le sourire. Elle est également franche, elle n'hésite pas à dire la vérité ou ce qu'elle pense sans réfléchir aux conséquences. Elle a également un petit air désinvolte qui fait tout son charme et qui la rend si agréable à regarder et à fréquenter. Elle est aussi impatiente, attendre l'exaspère, mutine et un brin indisciplinée. Elle aime faire la fête et se fiche de ce que les gens peuvent penser d'elle.

Physique :Le visage de Charlotte est parfait, il n'y a aucun défaut. Pas le moindre bouton, pas de point noir ni de petites marques. Ayant des lèvres charnues, Charlotte aime beaucoup accentuer le tout par une touche de maquillage, un peu de crayon pour les yeux, et une touche de gloss, un belle couleur de peau, ce qui lui donnait un air attachant qu'on ne peut que craquer pour cette jeune femme de 17 ans seulement . Son visage ovale lui donne un petit air de gamine qui lui colle beaucoup à la peau.
Charlotte a de beaux et longs cheveux châtains. Sa chevelure est soyeuse, épaisse et naturellement lisse qu'elle entretient avec beaucoup d'attention. Elle fait souvent des après-shampoings et aime s'en occuper. Elle a déjà eu les cheveux très courts comme très longs, elle aime beaucoup se faire poser des extensions même si en moment elle garde sa coupe naturelle, c'est-à-dire les cheveux coupés en un long dégradé qu'elle coiffe avec la raie sur le côté droit ce qui lui donne un air angélique avec son visage. Elle peut facilement intervertir entre les cheveux raides ou bouclés, elle aime bien se servir de son fer. Elle adore se faire de nombreuses coiffures, faire des soins et lorsqu'elle est nerveuse, elle tord son doigt dans une de ses mèches. Elle ne peut s'empêcher de toucher ses cheveux, c'est une de ses manies.
Son regard est un simple délice, on pourrait s'y perdre, cela lui donne un air de petit ange. La jeune fille possède de ravissants yeux marrons/gris qui font ressortir ses cheveux châtains. Plongez votre regard dans le sien et il sera difficile de vous en défaire. Ces yeux sont irrésistibles, ils expriment beaucoup de choses que la jeune femme garde enfermées en elle. Ils sont pétillants, reflétant son bonheur de vivre. Mais ont peut dire que ses yeux sont doux, révélateurs et c'est un simple délice de plonger son regard dans ceux-là.Charlotte change parfois de couleur avec des lentilles de contact. Parfois vous pourrez la voir avec des lunettes mais uniquement pour lire. Ce n'est pas qu'elle ait de problèmes de vue, c'est simplement qu'elle aime bien porter des lunettes et elle s'est offerte une paire de lunettes Chanel.
Très grande et mince, Charlotte joue de son physique pour charmer. Elle est consciente de son exceptionnelle beauté et n'use pas de ses moyens.
Charlotte dévoile des mensurations digne d'une mannequin. Son tour de poitrine est de 86 cm, celui de taille est de 60 cm et quant à son tour de hanches celui-ci est de 81 cm.
Charlotte est plutôt grande, elle mesure le mètre soixante-quinze.La jeune lycéenne a un buste très fin et sa taille de robe est donc un 32. Elle n'a pas de très longs pieds, elle rentre dans la moyenne des femmes. Elle chausse du 39 ce qui est très facile à trouver, ainsi elle n'a pas de difficultés à trouver chaussures à son pied.

Avatar : Daria Werbowy
Comment avez-vous connu le forum : Par un top-site il me semble

Merci pour l'idée des stylos Reynolds que j'ai repris dans l'histoire^^
Voilà j'ai terminé ^^

Bienvenue ! Bravo pour ta présentation !

De rien, c'est super ton histoire !

Merci ^^

Attend je comprend rien moi, tu parle d'une Charlotte, elle je vois qui c'est mais aussi d'une Serena et d'une Victoria, moi j'y comprend plsu rien

Oui dans l'histoire on a du mal à savoir si tu parles de tes soeurs ou de ton personnage

Sinon Bienvenue ^^

J'ai juste zappé de changer à quelques moments d'autres prénoms je rectifie ^^

Très jolie présentation !
Bienvenue !